Etre curé et s'appeler Esteban Lahydeux, c'est pas très classe, alors il se fait appeler Requiem, et là tout de suite ça vous pose le personnage !
Requiem, faut pas trop le chauffer sinon c'est une volée de bois vert qui vous est servie. Alors quand une môme qui gagne sa vie pas très catholiquement vient à confesse et lui parle du message troublant qu'elle à reçu, ni une ni deux notre chevalier en soutane enfourche son fier destrier (une Ford Mustang du feu de Dieu) et part à la castagne.
Stanislas Petrosky vous emmène à la chasse aux démons.
Pour ne pas trop froisser le patron, il gère son ministère avec bienveillance et assiduité.
Mais pas que...l'auteur vous donne à réfléchir sur les turpitudes de l'être humain, dans notre monde actuel plutôt bien malade.
"Il y a des choses que j'ai du mal à comprendre, à assimiler...comment peut-on jouir dans la torture, comment peut-on prendre son pied en infligeant la douleur."
"Comment l'homme peut il être aussi vil, aussi sadique, aussi déshumanisé ?"
Stanislas Petrosky vous emmène à la chasse aux démons.
Pour ne pas trop froisser le patron, il gère son ministère avec bienveillance et assiduité.
Pour qui a grandit sur un air d'Audiard et Frédéric Dard, Requiem est un hommage à ces deux amoureux des mots gouailleurs, imagés, argotiques.
Les réflexions truculentes, m'ont souvent fait rire.
Mais pas que...l'auteur vous donne à réfléchir sur les turpitudes de l'être humain, dans notre monde actuel plutôt bien malade.
"Il y a des choses que j'ai du mal à comprendre, à assimiler...comment peut-on jouir dans la torture, comment peut-on prendre son pied en infligeant la douleur."
"Comment l'homme peut il être aussi vil, aussi sadique, aussi déshumanisé ?"
Défi lecture 2017 : Catégorie 55 -->
Un roman préfacé par quelqu'un d'autre que l'auteur |
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